La concurrence internationale, les difficultés de recrutement et les dernières chutes de neige… Malgré un déficit d’image auprès du grand public et de nombreux obstacles liés à l’actualité sociale, rien n’arrête la croissance du secteur du transport routier de marchandises. Pierre Casanova, gérant d’une société de transport depuis 10 ans, nous explique comment il a réussi à se développer !

 

 

Bonjour Pierre, pouvez-vous nous présenter votre entreprise ?

Je gère la société “Transport Casanova” située à Salon-de-Provence depuis 2008. J’ai commencé comme chauffeur indépendant et aujourd’hui l’entreprise est composée de neuf salariés. Nous travaillons pour différents secteurs, mais nos trois remorques frigorifiques nous spécialisent dans l’agroalimentaire : nous transportons de nombreuses marchandises pour une chaîne de supermarchés. Nous avons également un tracteur spécialisé dans le déplacement de marchandises industrielles.

 

 

Vous prenez toujours le volant ?

Je suis gérant mais je conduis également les camions. J’ai démarré tout seul, donc toutes les tournées de la société, je les ai déjà faites.

 

Comment se porte le secteur du transport ?

La conjoncture économique étant plus favorable, l’activité du secteur se redresse. Pour autant, on a des coûts directs avec les frais généraux, péages, frais de route et le prix du carburant : un sujet d’actualité, n’est ce pas ? Comme beaucoup de secteurs d’activité, le “Transport” fait face à des problématiques de recrutement, mais j’ai la chance d’avoir un bon réseau.

 

Quel est votre process de facturation ?

Nous facturons en fonction de la distance, du poids, du volume et de la nature de la marchandise. La problématique : nos clients nous paient à 30 jours voire 45 jours et lorsque vous souhaitez vous développer, cela parait très long surtout pour mon banquier ! Investir nécessite un fond de trésorerie important : l’achat d’un tracteur ou d’un semi-remorque, matériel indispensable à notre activité, représente une dépense conséquente.

 

 

C’est dans cette optique de développement que vous avez eu besoin de Cash in Time ?

Tout à fait ! J’avais misé sur l’achat d’un seul camion mais la demande était tellement forte que je me suis lancé dans l’achat de deux véhicules d’un coup. J’avoue avoir eu quelques appréhensions, mais Cash in Time m’a permis de tenir le choc et de prendre ce nouveau virage. Il faut bien comprendre que l’achat d’un camion représente deux mois sans être payé… c’est énorme !

 

 

C’est donc un besoin ponctuel ?

C’était un besoin très spécifique, je n’ai pour l’instant plus besoin de vos services et ça me convient.… Pour l’instant, ça roule.

Maintenant, je sais que je peux compter sur Cash in Time si la société doit encore grandir.

 

Comment s’est déroulée l’inscription ?

Je me suis inscrit très simplement ; la plateforme est très accessible, ça se fait en quelques minutes.

 

Mais au fait, comment avez-vous découvert Cash in Time ?

Je connaissais l’affacturage et je n’avais jamais osé franchir le pas, mais comme je l’ai évoqué cela peut sauver la mise. J’ai un compte au Crédit Agricole et au LCL et mes conseillers m’ont parlé de cette solution qui semblait adaptée à mon besoin. Cela s’est confirmé : Cash in Time m’a bien rendu un joli service.

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