La réalité sur le métier de DAF, le directeur administratif et financier.

Avec son C.V. en acier trempé, il est passé notamment par la Banque de France et l’Inspection générale des Finances, Paul Sauveplane sait jongler avec les chiffres comme personne. Depuis deux ans, il est le nouveau DAF de la start-up Alan. Un métier obscur pour le commun des mortels qui mélange de la finance, de la comptabilité mais aussi beaucoup d’humain. Pour nous éclairer sur la réalité de son métier, Paul se prête à notre interview « Soyez CASH, nous n’avons pas de TIME ». Une série de questions concises pour des réponses sans tabou.

 

Quand je lis DAF, je me dis de suite Dafalgan. Rassure-moi le métier de DAF au quotidien ne donne pas trop de migraines ?

(Rires) Bien vu ! C’est en fait tout le contraire. La mission du DAF est de tout faire pour qu’une entreprise et ses salariés n’aient jamais de maux de tête. Un DAF touche un peu à tout. Je gère bien évidemment l’aspect financier mais aussi les relations avec les autorités publiques, les impôts, les achats… Au quotidien, le rôle du DAF est de faire tourner la boutique avec une obsession : que notre activité soit pérenne à long terme. Si tout fonctionne sans que les salariés s’en rendent compte, alors ma mission est réussie. Le DAF est le paracétamol d’une entreprise, son action tranquillise les processus, les relations et la solvabilité à long terme. Je caricature, mais c’est pour rebondir sur ta référence au Dafalgan.

 

Habile ! Surtout que tu travailles pour une start-up qui évolue dans le domaine de la santé. Peux-tu nous présenter Alan ?

La vision d’Alan est de remettre l’utilisateur au centre du système de santé et de le rendre plus simple et plus transparent. Nous proposons aux entreprises, aux PME-TPE, mais aussi aux travailleurs indépendants, une offre de mutuelle santé lisible, simple et 100% digitalisée. Alan est la première compagnie à avoir décroché l’agrément de l’ACPR*, faisant de nous la première nouvelle compagnie d’assurance indépendante depuis 30 ans.

Tu viens d’utiliser les termes : « 100% digitalisée »… À destination des PME-TPE et des travailleurs indépendants… Simple d’utilisation… Cela ne te dit rien ?

(Rires) Je ne vois pas du tout de quoi tu parles. En effet, les similitudes entre la solution Cash in Time du Crédit Agricole et Alan sont nombreuses. Notamment sur la priorité donnée à la qualité de service de nos offres. Et aussi notre obsession commune de réduire les délais de paiement ou de remboursement.

En tant que DAF, je vois autour de moi que le tissu économique français a une obsession : la liquidité.

« Pour un dirigeant, un DAF ou un comptable d’une PME-TPE, le besoin de liquidité est une épée de Damoclès constamment suspendue au dessus de la tête de l’entreprise »

Donc Cash in Time est aussi le paracétamol de la comptabilité des entreprises ?

Exactement ! C’est très stressant pour une entreprise, cette obsession de la liquidité. Surtout quand ton activité dépend de quelques gros clients avec qui la marge de manœuvre est souvent réduite. Le chef d’entreprise devrait plutôt garder son temps et son énergie pour développer son activité. J’ai l’impression qu’un service comme Cash in Time aide beaucoup à gérer ces problématiques. Avec Cash in Time vous savez rapidement si votre facture client peut être financée et vous recevez le cash ensuite en moins de 24 heures** sur le compte de votre entreprise. C’est le rêve de tous les DAF d’avoir enfin une parfaite visibilité sur les rentrées de Cash !

 

Fini le stress pour les chefs d’entreprise.
Fini le stress pour les chefs d’entreprise.

 

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* Autorité de contrôle prudentiel et de résolution est une institution chargée de la surveillance de l’activité des banques et des assurances en France.

** Sous réserve de la conformité des factures et du respect des conditions générales de financement.